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Les mots et comportements à bannir en 2025 pour des relations amoureuses épanouies

Les mots et comportements à bannir en 2025 pour des relations amoureuses épanouies

La société évolue, et avec elle, notre compréhension des relations amoureuses et de la sexualité. En 2025, il est essentiel de remettre en question certaines pratiques et expressions qui perpétuent des stéréotypes nuisibles. Voici une liste de mots et de comportements à éviter pour favoriser des relations plus saines et respectueuses.

1. Le "slut-shaming"

Le « slut-shaming » consiste à critiquer ou humilier une personne, généralement une femme, en raison de son comportement sexuel supposé ou avéré. Cette pratique renforce des normes sexistes et limite la liberté individuelle. Il est temps de célébrer l’autonomie sexuelle de chacun sans jugement ni reproche.

📌 À lire aussi : Comment déconstruire les idées reçues sur la sexualité féminine ?

2. L'utilisation du terme "body count"

« Body count » fait référence au nombre de partenaires sexuels qu’une personne a eus. Utiliser ce terme pour évaluer ou juger quelqu’un réduit les individus à de simples statistiques et alimente des standards moraux dépassés. Chaque parcours est unique, et le respect de l’histoire de chacun est primordial.

📌 À découvrir : Pourquoi le passé sexuel ne devrait pas impacter la confiance dans le couple

3. Les injonctions à la performance

Les attentes sociétales concernant la fréquence des rapports sexuels ou les performances au lit peuvent créer une pression inutile. Ces injonctions peuvent mener à de l’anxiété et affecter la qualité des relations. Il est essentiel de privilégier la communication et le consentement mutuel plutôt que de se conformer à des normes imposées.

📌 En savoir plus : Comment parler de ses désirs et de ses limites avec son/sa partenaire

4. Les insultes basées sur la sexualité

Les termes péjoratifs liés à la sexualité ou à l’orientation sexuelle sont non seulement offensants, mais ils perpétuent également des préjugés et des discriminations. Bannir ces insultes de notre vocabulaire contribue à créer un environnement plus inclusif et respectueux.

📌 À lire : Les mots ont un impact : adopter un langage positif dans son couple

5. La culture du viol

La culture du viol englobe des attitudes et des comportements qui minimisent ou normalisent les violences sexuelles. Cela inclut le blâme des victimes, la justification des agresseurs ou la sexualisation excessive dans les médias. Remettre en question ces attitudes et promouvoir une éducation basée sur le consentement est crucial pour éradiquer cette culture toxique.

📌 Article recommandé : Pourquoi l’éducation au consentement est essentielle dès le plus jeune âge

Conclusion

En 2025, il est temps d’adopter un langage et des comportements qui reflètent une société plus égalitaire et respectueuse. En évitant ces mots et attitudes, nous contribuons à des relations amoureuses plus saines et épanouissantes pour tous.

📌 À ne pas manquer : Les clés d’une relation de couple épanouie en 2025

Éducation à la sexualité en France : état des lieux et perspectives

Introduction

L’éducation à la sexualité est un enjeu majeur pour le développement harmonieux des jeunes. En France, elle vise à transmettre des connaissances, promouvoir le respect de soi et des autres, et prévenir les comportements à risque. Mais que disent réellement les programmes scolaires actuels ? Comment sont-ils mis en œuvre, et quels défis restent à relever ?

Les fondements législatifs de l'éducation à la sexualité

Depuis la loi de 2001, l’éducation à la sexualité est obligatoire dans les établissements scolaires français. Elle prévoit au moins trois séances annuelles, adaptées à l’âge des élèves, de l’école primaire au lycée. Ces séances abordent des thématiques variées, allant de la connaissance du corps à la prévention des violences sexuelles.

Contenu des programmes scolaires

Selon le ministère de l’Éducation nationale, les programmes sont structurés de la manière suivante :

  • École primaire : L’accent est mis sur la vie affective et relationnelle. Les élèves apprennent à connaître et respecter leur corps, à comprendre la notion d’intimité et à reconnaître les différences entre les sexes. Les questions liées à la sexualité ne sont pas abordées à ce niveau.

  • Collège : Les thématiques deviennent plus complexes. Elles incluent des notions biologiques d’anatomie et de reproduction, de prévention des risques, ainsi que des notions liées aux droits humains. Les élèves sont sensibilisés aux stéréotypes de genre, au consentement et à la prévention des violences sexuelles.

  • Lycée : L’éducation à la sexualité vise à approfondir les connaissances sur la sexualité et la santé, la reproduction, la contraception et la prévention des infections sexuellement transmissibles (IST). Elle favorise des choix éclairés et responsables, et lutte contre les discriminations en sensibilisant aux stéréotypes, notamment de genre, et en promouvant l’égalité et le respect entre les sexes.

Mise en œuvre et défis

Malgré ces directives, la mise en œuvre de l’éducation à la sexualité varie considérablement d’un établissement à l’autre. Plusieurs défis subsistent :

  • Formation des enseignants : Tous ne se sentent pas à l’aise ou suffisamment formés pour aborder ces sujets délicats. Des formations spécifiques sont prévues pour accompagner les personnels, avec de nouvelles sessions organisées à partir du second trimestre 2025.

  • Sensibilité des sujets : Certains thèmes, comme l’identité de genre ou la prévention des violences sexuelles, peuvent susciter des réticences ou des controverses, tant chez les enseignants que chez les parents.

  • Ressources pédagogiques : Bien que des ressources soient disponibles sur des plateformes comme Éduscol, leur accessibilité et leur adéquation aux besoins des enseignants peuvent varier.

Perspectives d'amélioration

Pour renforcer l’efficacité de l’éducation à la sexualité en milieu scolaire, plusieurs pistes peuvent être envisagées :

  • Renforcement de la formation initiale et continue des enseignants : Assurer que tous les personnels éducatifs disposent des compétences nécessaires pour aborder ces sujets avec assurance et sensibilité.

  • Implication des parents : Favoriser le dialogue entre l’école et les familles pour lever les tabous et assurer une continuité éducative.

  • Évaluation régulière des programmes : Adapter les contenus aux évolutions sociétales et aux besoins des élèves, en s’appuyant sur des retours d’expérience et des recherches actualisées.

Conclusion

L’éducation à la sexualité est essentielle pour préparer les jeunes à une vie affective et sexuelle épanouie et responsable. Si des progrès significatifs ont été réalisés en France, il est crucial de poursuivre les efforts pour garantir une mise en œuvre homogène et efficace de ces programmes sur l’ensemble du territoire.

Sexualité des seniors : Évolution, défis et épanouissement

Introduction

La sexualité ne s’éteint pas avec l’âge. Au contraire, de nombreuses personnes âgées continuent de mener une vie sexuelle active et épanouie. Pourtant, ce sujet demeure souvent tabou. Quelles sont les réalités de la sexualité chez les seniors aujourd’hui ? Comment évoluent les pratiques et quelles sont les clés pour une vie intime épanouissante à un âge avancé ?

L'évolution des pratiques sexuelles chez les seniors

Selon une étude récente, 60,8 % des femmes et 79,3 % des hommes âgés de 60 à 69 ans ont eu des rapports sexuels au cours des douze derniers mois. Ces chiffres illustrent une réalité souvent ignorée : la majorité des seniors restent sexuellement actifs. De plus, les pratiques évoluent, avec une ouverture accrue à la diversité et une diminution des tabous.

Les défis rencontrés

Malgré cette activité, des défis subsistent. Les changements physiologiques liés à l’âge peuvent influencer la libido et la performance sexuelle. Par exemple, la ménopause chez les femmes et l’andropause chez les hommes peuvent entraîner des modifications hormonales affectant le désir. De plus, certaines études suggèrent que les relations sexuelles fréquentes peuvent accroître le risque de problèmes cardiaques chez les hommes âgés, tandis qu’elles seraient bénéfiques pour les femmes du même âge.

L'importance de la communication et de l'éducation

Pour surmonter ces défis, la communication avec le partenaire est essentielle. Discuter ouvertement de ses désirs, de ses limites et de ses préoccupations peut renforcer l’intimité et améliorer la satisfaction sexuelle. De plus, l’éducation sexuelle ne devrait pas se limiter aux jeunes. Les seniors peuvent bénéficier d’informations sur les changements corporels, les pratiques sécuritaires et les moyens d’améliorer leur vie sexuelle.

Témoignages : Des seniors sans tabou

Dans un article du Point, plusieurs retraités se confient sur leur vie sexuelle. Leurs témoignages révèlent une diversité de pratiques et un désir intact, démontrant que la sexualité à un âge avancé peut être tout aussi riche et satisfaisante qu’à tout autre moment de la vie.

Conseils pour une sexualité épanouie à tout âge

Consulter un professionnel : En cas de préoccupations ou de problèmes persistants, il est recommandé de consulter un sexologue ou un thérapeute spécialisé.

Conclusion

La sexualité des seniors est une réalité vivante et dynamique. En brisant les tabous et en encourageant la communication, il est possible de favoriser une vie intime épanouie à tout âge. N’oublions pas que le désir et le plaisir ne connaissent pas de limite d’âge.

Sexualité des Français : ce que révèle la dernière enquête de l’INSERM

📌 Comment évolue la sexualité des Français ? Quels sont les changements marquants des dernières années ? L’INSERM dévoile une nouvelle enquête qui bouscule certaines idées reçues et met en lumière les tendances actuelles. Découvrons ensemble les grandes évolutions, les tabous encore présents et comment ces données peuvent nous aider à mieux vivre notre sexualité.

1. Introduction : Une sexualité en constante évolution

La sexualité est un reflet de notre société. Elle évolue au fil du temps, influencée par des facteurs socioculturels, technologiques et même économiques. La dernière enquête menée par l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale) nous offre un panorama actualisé des pratiques sexuelles en France.

🔎 Qu’est-ce qui change vraiment ?

  • L’âge des premières expériences sexuelles.
  • L’évolution des pratiques et des préférences.
  • L’impact des nouvelles technologies sur la sexualité.

Ces résultats nous permettent de mieux comprendre notre rapport au plaisir, à l’intimité et aux relations. Décryptage !


2. Des comportements sexuels en mutation

Les enquêtes précédentes montraient déjà des évolutions dans les habitudes sexuelles des Français. Cette nouvelle étude confirme plusieurs tendances de fond :

💬 Une première expérience sexuelle plus tardive
Si l’âge moyen du premier rapport sexuel était de 17 ans dans les années 2000, on observe aujourd’hui une légère augmentation. De plus en plus de jeunes attendent d’être plus matures émotionnellement avant de se lancer.

🛠 Des pratiques plus diversifiées
Les couples explorent davantage de nouvelles expériences :

  • Augmentation des couples adeptes de la non-monogamie éthique (polyamour, relation libre).
  • Usage croissant des sextoys et nouvelles formes de plaisir en solo.
  • Importance accrue du plaisir féminin dans les relations.

🌍 Une sexualité plus inclusive
Les représentations de la sexualité évoluent aussi :

  • Une meilleure acceptation des différentes orientations sexuelles.
  • Un rejet progressif des normes genrées dans la sexualité.

3. Le rôle du numérique dans la sexualité d’aujourd’hui

Avec l’essor des applications de rencontre et du contenu érotique en ligne, le rapport à la sexualité a considérablement changé.

📱 Le digital, un facilitateur ou un frein ?

  • 40% des jeunes adultes ont déjà utilisé une appli de rencontre.
  • Le sexting devient une pratique courante dans les relations.
  • Influence du porno sur la perception du corps et du désir.

⚠️ Mais aussi des risques :

  • Une hausse du « ghosting » et de l’anxiété relationnelle.
  • La surexposition au porno peut altérer la vision du sexe réel.

Le défi est donc d’apprendre à utiliser ces outils sans tomber dans des pièges comme la dépendance affective ou l’idéalisation des relations en ligne.


4. Les tabous qui persistent en 2024

Malgré ces avancées, certains sujets restent encore sensibles :

🚫 Le manque d’éducation sexuelle

  • Encore aujourd’hui, 1 jeune sur 3 estime que l’éducation sexuelle à l’école est insuffisante.
  • Beaucoup découvrent encore la sexualité via le porno, souvent loin de la réalité.

🙊 Les difficultés à parler de sexualité dans le couple

  • 1 personne sur 2 avoue ne pas oser exprimer ses fantasmes ou ses besoins.
  • Le tabou du plaisir féminin persiste dans certains milieux.

💔 Les problématiques de santé sexuelle

  • Une recrudescence des IST chez les jeunes adultes.
  • La persistance de la méconnaissance autour des troubles sexuels (baisse de libido, anorgasmie, etc.).

5. Comment mieux vivre sa sexualité à la lumière de ces résultats ?

💡 L’objectif de cette enquête n’est pas seulement d’informer, mais aussi d’ouvrir des pistes pour une sexualité plus épanouie.

Communiquer dans son couple
Exprimer ses désirs et ses limites permet une meilleure connexion et évite frustrations et malentendus.

Se détacher des diktats sociétaux
Chaque sexualité est unique. Il n’y a pas de norme à suivre, seulement son propre plaisir et celui de son/sa partenaire.

Se renseigner et se former
Des ressources existent pour mieux comprendre la sexualité (livres, podcasts, consultations en sexothérapie).

Oser explorer
Que ce soit en solo ou en couple, l’expérimentation est une clé essentielle à l’épanouissement sexuel.


6. Conclusion : Une sexualité en mouvement, mais encore des défis à relever

L’enquête de l’INSERM nous montre une sexualité française en constante évolution, plus libre et diversifiée. Toutefois, des efforts restent à faire pour mieux éduquer, libérer la parole et garantir une santé sexuelle optimale pour tous.

🗨️ Et vous, comment percevez-vous ces évolutions ? N’hésitez pas à partager votre avis en commentaire !

📞 Besoin d’un accompagnement en sexothérapie ? Découvrez mes services ici.

Un peu de moi pour devenir qui je suis

Bienvenue à vous sur le tout premier article que j’ai créé pour le Blog du Collectif Therapy !

On dit souvent qu’il est difficile de parler de soi, pourtant n’est-on pas dans une dynamique où se vendre devient primordial pour sortir son épingle du jeu ??

Vous l’aurez certainement compris, ici la franchise est de mise, c’est un peu comme une marque de fabrique chez moi, mais, à bien y réfléchir, dans mon travail, c’est important de pouvoir poser les bons mots au bon moment …

Restez avec moi, je vous raconte tout de suite, qui je suis, ce que je fais et comment je vois les choses !

Qui suis-je?​

Je suis Léliane, mais tout le monde m’appelle Lilou depuis bien longtemps ! Alors, je vous invite, vous aussi, à m’appeler Lilou (en plus, je me retourne plus facilement sur mon surnom que mon prénom 😉 ).

Je suis un papillon qui a fait le tour de quelques départements français pour finalement poser ses valises en Gironde depuis plus de 10 ans.

Je rêvais d’être éditrice et d’éditer les graines d’écrivain, selon moi tout le monde mérite sa chance. Finalement, les projets ont dû changer et me voilà propulser dans ce que je considère l’une des meilleures écoles de la vie : la téléprospection.

5 longues années à passer en moyenne 150 appels par jour, à entendre toutes les manières polies ou non de raccrocher au nez de quelqu’un et à renforcer ma prise de recul, ma gestion du stress, mon goût du challenge et du travail d’équipe.

Aujourd’hui, je fais partie de ces personnes qui répondent inlassablement « Je ne suis pas intéressée, merci. » c’est donc ainsi que l’on arrive au premier virage de ma vie professionnelle, c’est à ce moment que je me reconvertis dans l’assistanat de direction avec option immobilier et une prépondérance à travailler dans le domaine du bâtiment au sens le plus large.

Le terme fait rêver, l’emploi beaucoup moins, j’ai été de structures en structures, servant le café, remplissant les recommandés, suggérant des améliorations dont on me privait du mérite et puis j’ai raccroché mon tailleur, mon sourire forcé, mon dégoût du café pour enfin penser à moi.

Devenir mon propre patron​

Après plus d’une dizaine d’années de travail au service des uns et des autres, dans des univers qui ne me correspondaient pas toujours, il était temps de faire un virage à 360° et devenir mon propre patron :

Les Coquineries de Lilou

Ça y est, j’ai ouvert ma première entreprise (merci le Covid, les confinements et le chômage partiel !). Comme vous pouvez vous en douter, ma première entreprise est une boutique érotique exclusivement en ligne.

Alors, me direz-vous, pourquoi le domaine du sexe ?! Eh bien, parce qu’à presque 40 ans, je trouve dommage qu’il faille encore faire entrer dans les mœurs que la sexualité est bénéfique pour le corps et l’esprit et aussi parce que je trouve inadmissible de payer trop cher des objets de plaisir !

Voilà le premier tournant qui a changé ma vie, ma perception des choses, qui m’a permis d’être bien plus en relation avec les gens qui m’entourent et qui m’a donné la liberté de pouvoir profiter pleinement de mes 2 garçons et de mon mari.

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La sexothérapie

Ces quelques années passées à gérer ma boutique, à tout apprendre du métier d’entrepreneuse digitale, de community manager, de web designer et d’honorable tenancière de sexshop m’ont démontrées qu’il y a un énorme déficit d’informations, que beaucoup d’entre nous souffrent de problématiques liées à la sexualité, que le plaisir n’est pas une destination, mais une désillusion.

C’est à ce moment précis où j’ai compris que ma mission de vie résidait encore et toujours dans l’aide apportée aux autres. J’ai cherché, j’ai réfléchi et j’ai fait un réel travail sur moi-même pour finalement comprendre où tout cela me menait et me voici arriver en formation de sexothérapie à Anglet.

Mon conseil de femme, mon conseil de thérapeute

Travailler la boule au ventre, être conscient qu’il faut payer nos factures, faire vivre notre famille, nous assurer une modique retraite n’est pas assez motivant pour changer de vie. Il faut bien plus que ça, il faut savoir mettre sur pause le temps qui défile, accepter de plonger en soi, peu importe les répercussions, aller apporter de la lumière à ses parts d’ombre, accepter ses erreurs pour enfin s’ouvrir de l’intérieur et découvrir qui nous sommes vraiment ! C’est en réalisant ces différentes étapes que j’ai pu être à ma place aujourd’hui, ma place de thérapeute, ma place d’entrepreneuse et ma place de femme.

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La sexothérapie

J’ai rencontré la sexothérapie lors de ma formation à Anglet, dirigée par Alain Héril.

Je ne savais pas forcément trop à quoi m’attendre avec cette formation, le déroulé était sommaire, mais entourée de thérapeutes, praticiens, j’ai douté de ma place et finalement j’ai pris des claques, cette formation m’a obligé à aller voir encore plus loin en moi, à ouvrir une boîte de Pandore si bien scellée pour finalement comprendre combien cet ultime virage révèle qui je suis et ce que je veux faire.

C’est donc, certifiée et diplômée, que je reçois des couples, des personnes seules, de toute orientation, tout genre, avec pour seul dénominateur commun : une problématique de la sexualité.

Je les reçois dans mon cabinet et/ou en visio, je les accompagne tout au long du cheminement que ces personnes font vers elle-même, je leur apporte du soutien, des clefs, des outils et des exercices afin de trouver l’épanouissement tant espéré.

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Le coaching conjugal

Il me semblait nécessaire de comprendre la mécanique du couple pour pouvoir les orienter au mieux et comprendre où chacun de ces individus qui font couple se situent. On entend souvent : mésententes, disputes, ruptures, séparations, divorces…

Je n’ai pas pour projet de réunir tout à chacun, mais d’offrir à chaque couple qui me consulte un exutoire pour entendre ce qui n’arrive pas à être dit, pour comprendre ce qui est insensé et également pour évoluer ensemble, main dans la main.

C’est grâce à l’Institut Formalis que j’ai pu obtenir ma certification en coaching conjugal et que j’exerce aujourd’hui pleinement dans mon cabinet.

Mon approche à Moi

J’ai décidé d’offrir une approche différente, loin du divan des psychanalystes, des chaises inconfortables de psychologues, mais plutôt
une approche centrée sur l’humain, atypique et non conventionnelle.

En effet, dans mon cabinet, nous pouvons être pieds nus, assis sur une chaise, en tailleur sur un pouf, méditer, se relaxer, apprendre à
respirer et exhorter nos maux autrement qu’avec des mots, car j’ai fait de l’art thérapie l’un de mes outils privilégiés.

La sexualité n’est plus un tabou, n’est pas hétéro-reproductive et ne se limite pas au kamasutra et à des blagues graveleuses.

Je suis sexothérapeute et j’accompagne toutes les sexualités et vos troubles quels qu’ils soient ne sont pas une manière de vous définir et ne sont pas une fin.

En conclusion, j’aborde avec vous la sexualité sous le prisme du trouble pour qu’elle revienne à sa place de plaisir. La confidence, la bienveillance, l’inclusion et le respect sont mes maîtres mots.

A très bientôt !

Communication : Sexe et handicaps

Communication : Sexe et handicaps

Éviter l'oppression sexuelle

Les personnes souffrant d’un handicap ou d’une maladie chronique sont victimes d’une forte oppression sexuelle. L’un des principaux problèmes liés à cette oppression est le manque d’éducation, de communication et d’exposition à ces défis. Dans ce guide, nous examinerons quelques suggestions de communication utiles concernant la sexualité et le handicap, afin d’améliorer les relations.

La communication peut être plus stressante

L’une des clés d’une bonne sexualité avec un partenaire est une bonne communication. Les personnes souffrant d’un handicap peuvent éprouver un stress émotionnel lorsqu’elles doivent trouver la meilleure façon d’exprimer ce qu’elles ressentent ou ce dont elles ont besoin. Il est donc essentiel de reconnaître que parler ouvertement de ces questions peut demander beaucoup de courage et de vulnérabilité. Parler ouvertement de sexualité est déjà assez difficile ; cela peut sembler carrément insurmontable si l’on y ajoute un handicap. Veillez à être particulièrement sensible lorsque vous parlez de sexualité avec une personne handicapée, car cela peut lui demander beaucoup plus de courage.

En outre, il peut être effrayant de parler de sexualité avec une personne handicapée en tant que personne non handicapée, de peur de blesser les sentiments d’une personne handicapée. Passons en revue certains éléments qui peuvent aider à avoir une conversation aimante et encourageante.

Éviter l'abêtissement

Le capacitisme peut conduire à considérer les adultes handicapés comme des enfants ou des personnes asexuées. Ces opinions ignorantes excluent souvent les personnes handicapées des conversations sur le sexe, l’amour et les rencontres, ce qui conduit à l’isolement, au rejet et au désespoir. Veillez à ne pas parler à une personne handicapée comme à un enfant et aidez-la à célébrer sa sexualité comme n’importe qui le mérite. Traitez simplement les personnes handicapées comme vous voudriez être traité. Les personnes handicapées ne sont pas brisées ; vous n’avez pas besoin de les plaindre. Faites plutôt preuve de respect et de compassion et offrez votre aide lorsqu’elle vous est demandée.

S'instruire

Ce n’est pas à une personne handicapée de vous apprendre à éviter les comportements discriminatoires. Il existe de nombreuses ressources éducatives à portée de main qui permettent d’être plus conscient des défis auxquels sont confrontées les personnes handicapées. En outre, parler ouvertement de questions pratiques et d’inquiétudes lorsque l’on aborde la sexualité avec une personne handicapée devrait être une responsabilité mutuelle. Il est injuste et épuisant de faire peser le poids de l’éducation sur la seule personne handicapée. S’il est généralement acceptable de poser des questions qui les concernent, il ne faut pas s’attendre à ce qu’elles soient un guide illimité. Cherchez plutôt des moyens d’en savoir plus, impliquez-vous dans la communauté des personnes handicapées et devenez activement éduqué et autonome.

Ne parlez pas au nom des personnes handicapées

Les personnes non handicapées ne comprendront jamais vraiment ce que c’est que d’être handicapé, quelle que soit leur proximité avec une personne handicapée ou leur niveau d’éducation sur ces questions. Lorsque l’on parle de handicap, il faut toujours permettre aux personnes handicapées d’être en première ligne pour se représenter elles-mêmes.

Se préparer aux préjugés

Même si une personne est tout à fait à l’aise avec le handicap de son partenaire, il peut être difficile d’ignorer les jugements de la société de la part de la famille, des amis et d’autres personnes. Comprendre qu’il peut y avoir des regards et des commentaires désobligeants fait partie de la protection et de l’amour d’un partenaire handicapé. Il est essentiel de reconnaître que les préjugés inhérents seront un défi, et il est toujours bon de chercher du soutien auprès de ressources utiles. Il faut également comprendre que les commentaires blessants ne représentent pas une personne handicapée, mais plutôt les défauts de la personne qui se moque d’elle. Laissez leur bigoterie à eux-mêmes.

Cacher la douleur et défier les émotions

Les personnes handicapées sont souvent très habiles à dissimuler leur douleur physique et émotionnelle parce que nous vivons dans une société qui évite et, dans certains cas, punit ce type d’expression. C’est pourquoi il est essentiel d’anticiper cette appréhension et d’encourager la communication par un renforcement positif.

La peur de l'abandon

Les personnes handicapées peuvent également craindre d’être abandonnées par leur partenaire. Les handicaps peuvent avoir un impact négatif sur l’estime de soi, causer du stress et être un fardeau à gérer. Si votre partenaire est aux prises avec un handicap, rappelez-vous qu’il est très important de faire preuve de compassion et de compréhension pour le rassurer et lui montrer qu’il n’est pas seul dans ses difficultés.

Il est également essentiel de se rappeler que certaines personnes handicapées se sentent piégées dans des relations abusives ou toxiques. Elles peuvent y rester par crainte de ne pas trouver d’autre partenaire ou pour des raisons financières ou de soins.

Besoin de réconfort et de soutien

Prenez le temps de rassurer votre partenaire handicapé sur ce que vous aimez chez lui et rappelez-lui l’importance qu’il a pour vous. Faites preuve de patience lorsqu’il ne se sent pas sûr de lui et validez ses sentiments.

Il peut être souhaitable de travailler avec un thérapeute spécialisé dans les handicaps, qui peut vous aider à communiquer et à utiliser ces difficultés pour vous rapprocher plutôt que de les laisser vous éloigner l’un de l’autre. Des groupes de soutien en personne ou en ligne peuvent également s’avérer utiles.

Rencontres et handicaps

Sortir avec quelqu’un peut être une entreprise émotionnellement risquée pour n’importe qui, mais cela peut être particulièrement difficile pour les personnes handicapées. Ces dernières sortent souvent plus tard dans la vie et leur taux de mariage est inférieur à la moyenne.

Dangers et vulnérabilité

Toute personne handicapée peut également être plus vulnérable aux abus et aux agressions. La communication avec les amis, la famille et les soignants peut permettre de prendre de meilleures mesures de sécurité lors d’un rendez-vous. En outre, dans le cadre d’une relation, une personne handicapée doit pouvoir demander de l’aide en cas de besoin.

Inquiétudes des partenaires

Il est essentiel de comprendre que certains handicaps peuvent poser des problèmes à la fois aux personnes handicapées et à leurs partenaires. Veillez à communiquer ce dont vous avez besoin pour prendre soin de vous, en définissant des limites et des attentes claires. Une relation réussie exige de la communication, de la compréhension et de la compassion.


Et maintenant, est-ce plus clair pour vous ?

Dé-construire 7 clichés sur le pénis

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Passer votre souris sur chaque image, pour en savoir plus sur les clichés cités !

Bonne lecture à toustes !

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Si des questions persistent, n’hésitez pas à me contacter !

Dé-construire 7 clichés sur le vagin

Dé-construire 7 clichés sur le vagin

Mythe #1 : « Vagin » est le terme correct pour décrire l’ensemble des organes génitaux externes.

Il est devenu courant d’utiliser le terme vagin pour décrire tous les organes génitaux externes, bien que cela soit anatomiquement incorrect. Le vagin fait partie de ce que l’on appelle collectivement la vulve, les organes génitaux externes qui comprennent le mont pubis, l’ouverture urétrale, les lèvres, le clitoris, l’ouverture vaginale et le périnée. On ne sait pas exactement pourquoi « vagin » a été adopté comme mot de choix pour désigner les organes génitaux, mais cela peut être lié à la présence importante des hommes dans l’histoire de l’anatomie. Andreas Vesalius (auteur de « On the Fabric of the Human Body » – un livre considéré comme l’un des ouvrages les plus influents sur l’anatomie) considérait le clitoris comme quelque chose d’anormal ; un point de vue partagé par de nombreux autres scientifiques masculins à travers l’histoire (Galien, par exemple, croyait que le vagin était un pénis à l’envers !). Bien que notre compréhension de l’anatomie se soit améliorée, l’impact de ces croyances persiste encore dans la société. Il est important d’utiliser le terme « vulve » pour décrire l’ensemble des organes génitaux externes afin que les personnes puissent développer une meilleure compréhension de leur propre santé sexuelle et reproductive.

Mythe #2 : Toutes les femmes ont des vagins.

‘C’est une fille !’ s’est exclamée la sage-femme après avoir examiné les organes génitaux du bébé et décidé qu’ils correspondaient à la description des organes génitaux féminins. En raison de fausses idées entourant le sexe et le genre, nous supposons souvent automatiquement que si vous êtes une femme, vous devez avoir un vagin. Cependant, les organes génitaux ne sont pas un indicateur de genre et le supposer efface l’existence des personnes intersexuées, trans et non binaires.

Ni le genre ni le sexe ne sont binaires et les femmes peuvent avoir de nombreux types d’organes génitaux différents (vulves, pénis ou autres variantes des caractéristiques sexuelles). Nous devons sortir de ce mythe afin de créer un environnement plus sûr et plus inclusif pour toustes.

Mythe #3 : La pénétration vaginale est toujours douloureuse.

Le sexe devrait être agréable pour tout le monde et si le sexe vous cause de l’inconfort ou de la douleur, vous devez arrêter. La pénétration douloureuse n’est pas quelque chose que vous devez supporter, mais si vous trouvez la pénétration vaginale douloureuse, cela pourrait être lié à un certain nombre de choses. L’utilisation d’un lubrifiant de bonne qualité et la bonne humeur peuvent vraiment aider, mais il existe également des raisons médicales pour lesquelles la pénétration peut être douloureuse, notamment des infections ou des affections telles que le vaginisme. Si vous trouvez la pénétration douloureuse et persistante, vous devriez consulter un médecin sexologue et un.e sexothérapeute.

« Plaisir » n’est pas un mot qui est souvent inclus lorsque l’on parle des expériences sexuelles des personnes ayant des vagins et des vulves. Ce manque de discernement peut amener les gens à supposer que la pénétration vaginale est toujours douloureuse, un sentiment qui est préjudiciable, car il suppose qu’il est normal que le sexe soit désagréable et diminue les expériences des personnes qui souffrent de conditions médicales.

Mythe #4 : Les relations sexuelles avec pénétration rendront votre vagin « lâche ».

Le mythe, selon lequel, plus vous avez de relations sexuelles, plus votre vagin deviendra lâche a été utilisé pendant des années pour faire honte aux gens d’avoir plusieurs partenaires sexuels. Le vagin est très élastique, donc le fait d’y pénétrer temporairement ne causera généralement pas de changements permanents dans la taille de l’ouverture vaginale. Les vagins peuvent perdre de leur élasticité avec l’âge et c’est tout à fait normal ! Ils peuvent également changer de forme après l’accouchement, c’est pourquoi les coupes menstruelles sont souvent de tailles différentes pour les personnes qui ont et n’ont pas eu d’accouchement par voie naturelle. Cependant, l’ouverture vaginale peut par ailleurs se resserrer après la ménopause en raison d’une diminution des niveaux d’œstrogène. En conséquence, la forme et l’élasticité de votre ouverture vaginale changeront au cours de votre vie, peu importe le nombre ou le peu de rapports sexuels avec pénétration que vous avez ! En fin de compte, il est important de se rappeler que tous les corps sont différents et qu’ils changeront aussi différemment !

Mythe #5 : L’« hymen » peut indiquer si quelqu’un a eu des relations sexuelles avec pénétration.

Il y a quelques années, un rappeur a reçu des réactions négatives suite à des commentaires qu’il a fait sur un podcast où il a déclaré qu’il était certain que sa fille de 18 ans n’avait pas eu de relations sexuelles car « nous avons des visites annuelles chez le gynécologue pour vérifier son hymen « . Outre qu’il s’agit d’une invasion extrême de l’autonomie corporelle, cela renforce également le mythe nocif du « faire éclater la cerise » dans lequel on pense que ceux qui ont un vagin devraient saigner la première fois qu’ils ont des rapports sexuels avec pénétration en raison de la rupture de « l’hymen ». Tout d’abord, nous devrions commencer par nous demander ce qu’est réellement « l’hymen ». L’hymen ou couronne vaginale est constituée d’un mince morceau de tissu situé à l’ouverture du vagin. Dans la plupart des cas, l’hymen ne recouvre pas complètement l’ouverture du vagin (sinon, comment le sang menstruel sortirait-il ?!) et la quantité et l’épaisseur du tissu hyménal peuvent varier d’une personne à l’autre. Dans de rares cas, l’hymen recouvre toute l’ouverture vaginale. C’est ce qu’on appelle un hymen imperforé ou microperforé et nécessite des soins médicaux. Ce mythe vient probablement du fait que parfois l’hymen peut être étiré la première fois que quelqu’un a des relations sexuelles avec pénétration, ce qui peut provoquer des douleurs ou des saignements. Cependant, il existe de nombreuses autres raisons pour lesquelles votre hymen peut s’étirer, notamment faire du vélo ou faire du sport. Il est donc impossible de dire si quelqu’un a eu ou non des relations sexuelles simplement en regardant son hymen.

Mythe #6 : Les pertes vaginales sont un signe que quelque chose ne va pas.

La décharge est une conséquence tout à fait normale du fait d’avoir un vagin et c’est en réalité assez génial ! Le col de l’utérus produit naturellement un liquide conçu pour aider à garder le vagin propre, humide et exempt d’infection. Généralement, les pertes normales n’ont pas d’odeur ni d’odeur fortes, sont claires ou blanches et sont épaisses et collantes ou glissantes et humides.

Il est important de noter que l’apparence et la quantité de pertes peuvent changer tout au long de votre cycle menstruel, ainsi que si vous êtes enceinte ou sexuellement active. Bien que les pertes vaginales soient tout à fait normales, leur modification peut être un signe d’infection. Si vous ressentez des changements dans vos pertes qui ne sont pas normales pour vous, vous devriez consulter votre gynécologue.

Mythe #7 : Les douches vaginales sont le moyen le plus efficace de nettoyer votre vagin.

Avec l’approbation des célébrités et les critiques des professionnels de la santé, les douches vaginales sont devenues un sujet de conversation brûlant ces dernières années. Il s’agit fondamentalement d’un processus qui consiste à rincer le vagin avec du liquide afin de le débarrasser des sécrétions vaginales (c’est-à-dire l’important écoulement susmentionné) et qui est profondément enraciné dans le sexisme. Les douches vaginales étaient historiquement utilisées comme contraception (NB : les douches vaginales n’empêcheront certainement pas la grossesse) jusqu’à ce que la disponibilité généralisée de la pilule contraceptive la fasse tomber de son podium.

Les entreprises se sont donc tournées vers la honte des femmes parce qu’elles étaient « impures » et ont suggéré que, sans douches vaginales, elles ne seraient pas considérées comme « sexuellement idéales » par leurs maris. Les insécurités ont été exploitées, les ventes ont augmenté et les douches vaginales se sont fermement implantées dans la société. Le problème des douches vaginales est qu’elles peuvent perturber les bactéries saines et les niveaux de pH dans votre vagin, ce qui peut entraîner toute une série de problèmes de santé, notamment la vaginose bactérienne, l’irritation ou la sécheresse vaginale et la maladie inflammatoire pelvienne. Il est recommandé que le moyen le plus efficace de nettoyer votre vagin soit de le laisser se nettoyer (ce qui entraîne des pertes). Laver la vulve avec de l’eau tiède uniquement pendant un bain ou une douche est le meilleur moyen de maintenir l’équilibre sain des bactéries et des niveaux de pH de la vulve et du vagin.

En fin de compte, comprendre les vulves, les vagins et les mythes qui les entourent est important ! Bien que l’éducation se soit améliorée ces dernières années, il y aura toujours des mythes qui circulent. Assurez-vous de considérer d’où vous tirez vos informations et vérifiez les ressources fiables et si des questions persistent, contactez un.e professionnel.le !

À bientôt pour un nouvel article de sexualité décomplexée !